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13/09/2005

0,6V/m pour les Antennes-Relais?

Hier soir se tenait le premier conseil d’arrondissement de la rentrée. Le débat sur les antennes-relais est venu se poser en fin de séance (jusqu’à minuit…) à l’initiative de René Dutrey du groupe Les Verts. Objets du vœu déposé par son groupe : limiter à un maximum non dépassable de 0,6V/m les émissions électromagnétiques des antennes relais. Il faut savoir que la limite actuelle pour Paris se situe à 2V/m fixée par la Charte de Paris avec les opérateurs de téléphonie mobile, ce qui est déjà 20 fois inférieur à ce que qui communément utilisé dans 80% des pays du globe.

Principe de précaution aidant, on peut évidemment comprendre l’inquiétude des riverains de ces antennes-relais, inquiétudes amplifiées par les prédications apocalyptiques de René Dutrey.

Néanmoins, il est utile de préciser que lors du conseil de Paris du 10 Juillet dernier, Yves Contassot (Vert) a déposé un vœu similaire mentionnant non pas une limite de 0,6 V/m mais une diminution «significative» des émissions. Ce vœu fut adopté.

Malgré l’habileté du René Dutrey, le vœu déposé lors du conseil d’arrondissement du 14e suscita moult réactions par le caractère de contradictions pour ne pas dire de manoeuvre politique : chacun y perdit son latin, Mme Bellenger se crut appartenir au groupe vert quelques instants, Mr Calvary (toujours prompt à faire rire involontairement) regretta le Be Bop nationalisé à ces téléphones portables suppôts des multinationales capitalistes…

Recentrage du débat et dépôt d’amendement remplaçant les termes « limite à 0,6V/m » par «diminution significative» vinrent à bout des envolées lyriques de chacun, tout en retirant toute la substance du voeu au grand damne des verts.

Amendement voté à 7 voix pour, 3 abstentions, 6 contre… Il suffisait de peu pour que ce petit meurtre entre amis fasse des victimes.

Commentaires

Bravo pour ce fidèle compte-rendu... L'intervention sur le BeBop était en effet irrésistible de drôlerie. Même si je n'en dirais pas autant de l'objet du voeux...

...Mais si je comprends bien, vous étiez aussi dans la salle. Nous étions pourtant peu nombreux à cette heure tardive - les bancs des élus de l'opposition était du reste comme à leur habitude déserts.

Nous nous sommes donc croisés. Dommage, j'aurais aimé vous rencontrer...

A très bientôt donc.

Écrit par : Pierre Vallet | 13/09/2005

Bravo Bis. Bienvenue dans la communauté des blogs locaux ! Et très bonne continuation.

Écrit par : Marie | 14/09/2005

Merci Marie et Pierre de vos encouragements...
Pierre, si nous ne nous sommes pas vus dans la salle (parmi la quinzaine de "spectateurs"), c'est, je pense, pour une raison bien simple : Etant juste devant toi, je ne pouvais te voir , et tu ne voyais que mon dos (si c'était bien toi avec l'appareil photo) ....

Concenant l'opposition, pour ceux qui n'y était pas, elle n'était représentée que par Yves Ogé et Nicole Catala, qui sont partis vers 22h30, losque s'engageaient les discussions sur les subventions aux associations. C'est effectivement bien dommage qu'ils ne soient pas restés pour le voeu sur les antennes relais... cela aurait été amusant de voir s'ils faisaient basculer le vote ou non.

Je ne suis pas très coutumiers de ces faits, mais est ce bien normal de voter un amendement sur un voeu avant de voter sur le voeu ?

Écrit par : Pascal | 16/09/2005

...Je suis sûr que c'était toi devant moi :-)

De toute manière, il y a très peu de "jeunes" qui restent aussi tard au Conseil. Cela m'avait mis la puce à l'oreille... :-)

S'agissant du voeu avant l'amendement, oui, ils font comme cela à chaque fois. Ce qui est amusant c'est que du coup, assez fréquemment, le voeu étant totalement dénaturé par les amendements, celui qui l'a présenté s'abstient !

Écrit par : Pierre Vallet | 19/09/2005

Vu comment la desinformation est organisée par les organismes officiels voici quelques elements permettant de retablir une partie de la vérité.


La réalité de la charte de paris actuelle:


Quels sont les niveaux réels Tolérés?


Estimation des valeurs maximums acceptées :

La valeur que l'on met en avant est la valeur pondérée sur 24h de 2V/m avec un coefficient de pondération de 0,432 entre valeur max vers 18h 20h et moyenne sur 24h.

Valeurs maximum journaliere tolérées après correction de la minoration due au coef de pondération, Valeur maximum vers 18h = 2/0.432= 4.62V/m


Minoration du aux moyennes spatiales du protocole ANFR du fait que l'on fait une moyenne sur trois point au lieu de prendre le maximum entre 1 et 1.732 (racine(3))

valeur maximum après correction moyenne spatiale = 4,62V/m *1.732= 8V/m pour le 900Mhz

Valeurs tolérées par la charte à 900MHz = 4.62 à 8V/m

Dans cette charte il est appliqué une minoration sur les valeurs relevées a 1800MHz Cette correction est un non sens du point de vue des appareils électroniques il est prevu de corriger encore plus fortement les valeurs de l'UMTS.

Valeur de la minoration apportée à 1800Mhz = 58/41= 1.41
(cette charte bricole des equivalent 900Mhz)

Valeur mini tolérées par la charte à 1800MHz = 4,62 *1.4= 6,5V/m

Valeurs maximum tolérées a 1800MHz = 8*1.41= 11,3V/m

Valeurs Tolérée par la charte à 1800MHz = 6,5V/m à 11,3V/m

Donc en realité cette charte fait passer des niveaux de 4,62V/m a 11,3V/m comme etant soit disant inférieurs a 2V/m !!!!!!!!!!!!!!!!

On vous presente des vessies pour des lanternes.


Conclusions:

il n'y a aucune contrainte réelle sur les niveaux d'émission des opérateurs et les valeurs acceptées peuvent entraîner la mort par les conséquences du dysfonctionnement des appareils médicaux utilisés a domicile car le seuil de compatibilité electromagnétique de 3V/m valable de 80MHz a 2,5GHz est très largement dépassé .


En matiere de niveaux elle utilise tous les artifices possible et imaginables pour présenter des niveaux soit disant inferieurs a 2V/m.

Cette charte est dangereuse et contribue à la désinformation en laissant croire qu'elle est protectrice vu les niveaux réels tolérées qui peuvent tuer de manière indirecte.

Écrit par : pluloin lanten | 20/09/2005

ce qui est absolument magnifique, c'est qu'elle a été reconduite à l'identique pour 2006... et que le projet de loi déposé en juillet 2005 qui visait à limiter, entre autres, les émissions des antennes relai à 0,60 V/m rencontre une farouche opposition "souterraine" de la part de ... Jean Louis Debré, à l'Assemblée Nationale, comme on a pu le comprendre lors du colloque organisé par Nathalie Kosiusko Morizet sur ce sujet, il y a quelques semaines .

Écrit par : françoise fb | 10/01/2006

Merci Françoise de cette information.

Pour éclairer davantage, notons que, outre les aspects techniques et biologiques notés précédemment en commentaire (qui malgré mon esprit un peu scientifique ne me renseignent pas beaucoup, et sont loin de me permettre de trancher sur la dangerosité de ces ondes dans ces gammes-là) il existent aussi des intérêts économiques et éventuellement statégiques :

1/ Economiques d'abord: en limitant à 0,6V/m en lieu et place de 2V/m, ne vous attendez pas à voir les opérateurs, ni les usagers, à consentir à voir se dégrader un service qui leur est indispensable. La qualité de reception dans les années à venir devra rester au pire identique, au mieux s'améliorer. Pour la téléphonie mobile 2G ou 3G, réduire à 0,6V/m sous-entend implanter nécessairement plus d'antennes. Or, il suffit de regarder où se trouvent majoritairement ces antennes !! Rarement une petite copropriété s'accorde pour autoriser l'implantation d'une antenne... et pour cause les occupants des logements sont souvent les propriétaires qui décident. Les gros ensembles et tout particulièrement les logements sociaux, donnent nettement moins le choix à leurs locataires. Or dans ces cas là, l'OPAC ou autres SEM controlées majoritairement par la Mairie perçoivent bien évidemement des loyers/redevances pour l'implantation de ces antennes... L'OPAC est aujourd'hui sur Paris l'organisme qui perçoit le plus. Le premier gagnant est donc la Mairie, en faisant payer les opérateurs qui, il faut bien le dire, sont considérés depuis des années comme des vaches à lait intarrisables.

Et cela sans compter sur* les nouvelles technologies de communication telles le WiMax (norme IEEE 802.16e ou équivalent WiFi avec zones d'émision plus étendues, dans les gammes de 2.45GHz et 3,5GHz puis ultérieurement 5,8 GHz) qui devront très prochainement couvrir Paris (avant fin 2008). Si certains opérateurs WiMax (Ozone par exemple) prévoit de rétribuer plus simplement les occupants des immeubles qui hébergereont une atenne Wimax logements en leur donnant un accès gratuit à internet, cela risque de ne pas faire plaisir à tout le monde... De plus autant dire que en multipliant les bandes de fréquences, c'est aussi les facteurs de peur que l'on multiplie.

2/ Stratégique ensuite: L'écologie ça se cultive. La peur aussi. Bien évidemment si une antenne relais s'installe devant ma fenêtre, je ne perçois pas d'indemnité ou de loyers de l'opérateur, puisque ce sera mon voisin qui les percevra. Pourtant le plus arrosé d'ondes micrométriques ce sera moi. Je serais bien sûr inquiet car ne sachant qui croire: ceux qui me disent que c'est pas grave, études à l'appui, ou ceux qui me prédisent une mort atroce, également études à l'appui. Je deviens réceptif non seulement aux ondes mais également aux Jérémie des temps modernes, en pensant qu'ils actent pour ma protection. En réclamant une réduction des émissions, inéluctablement ceux ci oeuvrent pour une augmentation du nombre d'antennes et donc un accroissement de la population qui se sent directement touchées. Simple élargissement de la cible marketing.

Écrit par : Pascal | 11/01/2006

il semble que vous n'avez pas bien lieu, la charte camoufle des niveaux réels superieurs a 2V/m et jusqu'a a 11 V/m comme étant soit disant inférieurs a 2V/m cette charte est proche du niveau 0 en matière de limitation de niveaux car des antennes qui arrivent a dépasser 10V/m au niveau des habitations il n'y en a quasiment pas .

Le risque irrefutable en matière de compatibilité electromagnétique avec les appareils electroniques a usage médical utilisés a domicile, commence a 3V/m des dysfonctionnement de ces appareils par leurs conséquences peuvent tuer et l'ont probablement déja fait.

Donc la charte accepte et camoufle des niveaux qui peuvent tuer.

La plupart des antennes fonctionnent parfaitement avec des niveaux d'exposition inférieur a 0,6V/m actuellement , a Paris même, seules environ 10% à 15% des antennes posent problème (après avoir retraité les chiffres bidons de la charte), donc prendre quelques mesures de précaution n'entrainera aucun cataclysme pour les opérateurs et la téléphonie mobile.

c'est par arrogance pure des opérateurs et par l'ignorance et le laxisme des élus que l'on préfère camoufler les chiffres réels plutot que traiter les cas. cela a une forte odeur d'amiante.

Écrit par : Pluloin Lanten | 21/01/2006

Bonjour
René Dutrey soutient le combat d'Etienne Cendrier, porte-parole de l'association Robin des Toits, lanceuse d'alerte sur les dangers des antennes relais pour la santé publique. Cendrier est traîné devant les tribunaux par les trois opérateurs de téléphonie mobile... J'ai écrit un article là-dessus sur mon blog.

Écrit par : Olivier Bonnet | 20/03/2006

bonjour,
come vous le savez la charte de Paris est totalement bidon pour evaluer les risques car elle fait l'impasse sur ceux liés aux violation de la compatibilité electromagnétique ou le risque commence a 3V/m crete.

en effet elle accepte des valeur maximum de 4,62 V/m a 900MHz et 6,3V/m a 1800MHz qui de plus peuvent être majorés par le fait de l'utilisation de la moyenne spatiales du protocole anfr d'un facteur jusqu'a 1,7. soit dans certains cas jusqu'a 10V/m et tout ceci en le camouflant comme étant inférieur a 2V/m.

sur le site suivant on peut trouver une étude intéressante sur la jurisprudence en matière de principe de précaution.
http://www.observatoire-collectivites.org/index.php?basdepage=dossier&menu=5

De cette étude il ressort:

Mise en danger délibérée de la vie d'autrui (article 223-1 du code pénal)

« Le délit de mise en danger permet de sanctionner, avant même tout accident, un comportement particulièrement dangereux inscrit dans une logique du "ça passe ou ça casse".

« pour que le délit soit caractérisé il faut que soit constatée une "violation manifestement délibérée d'une obligation PARTICULIERE de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement »

« Ce n'est que lorsque le pouvoir législatif et réglementaire, réagissant à l'incertitude scientifique, édicte des règles particulières de sécurité, que la responsabilité d'un élu pourrait être envisagé en cas de violation manifestement délibérée de celles-ci. »

Homicide et blessures involontaires

« La responsabilité pénale d'un décideur public pour manquement au devoir de précaution des chefs de blessures ou d'homicide involontaires est conceptuellement plus plausible »

« deux types de faute peuvent engager la responsabilité des décideurs publics qui n'ont pas causé directement le dommage mais qui ont contribué à sa réalisation :

- soit la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence imposée par la loi ou le règlement

- soit une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque qu'ils ne pouvaient ignorer. »



Application a la téléphonie mobile avec la compatibilité électromagnétique.


Le délit de mise en danger de la vie d'autrui semble caractérisé car il y violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposé par les des lois et réglementations concernant la compatibilité électromagnétique entre antennes relais de téléphonie mobile et appareils électroniques en particulier ceux a usage médical utilisés a domicile dont l'immunité est de 3V/m..

sachant que le risque est inscrit dans la loi et les règles pour le prévenir existent depuis plus de 10 ans:

Les principales dispositions de l'article L32 12° du code des postes et communications électroniques mentionnent explicitement ce risque , de même que la directive RTTE ainsi que les directives CEM transposées en droit Francais, plus tous les règlements découlant de ces textes et notamment le principe de base en m.atière de compatibilité électromagnétique qui veut que le niveau total des perturbations électromagnétiques soit inférieur au seuil d'immunité afin de garantir la compatibilité électromagnétique.

il est bon de rappeler que dans le cas de la Compatibilité électromagnétique les prescriptions ne sont pas générales mais bien précises (limites de rayonnement et d'immunité en fonction de l'environnement afin de prévenir le risque)

Sachant que des dysfonctionnement de dispositifs médicaux utilisés a domicile pourraient avoir de graves conséquences pour la santé et provoquer des décès.

Sachant que dépasser 3V/m en niveau crête au niveau des habitations viole gravement ces dispositions.

L'Homicide involontaire pourra semble t il aussi être retenu car les deux fautes prévus sont avérées par ceux qui prétendent que le seul risque est thermique avec des niveaux de 41à 61V/m alors qu'ils savent que le risque CEM commence a 3V/m pour des habitations.

Il semble que les décideurs qui passent outre les règles de la compatibilité électromagnétique pourraient être condamnés pour mise en danger délibérée de la vie d'autrui et ultérieurement en cas de procès d'une victime pourraient être condamnés pour homicide involontaire.


Ceux qui prétendent dépasser 3V/m en valeur crête au niveau des habitations ont du souci a se faire.

A contrario, je vois mal comment un maire pourrait être attaqué devant un tribunal s'il a utilisé l'argument de la compatibilité electromagnétique pour interdire des expositions cretes supérieure a 3V/m toutes sources confondues afin de respecter la loi.

les peines encourues sont de 1 an de prison pour le delit de mise en danger délibéré de la vie d'autrui et ceci pourra peut être etre aggravé par le fait que les bidouillages de la charte le cache à la population, pour le deuxième délit en cas de déces c'est jusqu'à 5 ans de prison.

Écrit par : pluloin lanten | 26/03/2006

Très bien l'ami, mais c'est ton pseudonyme le plus parlant... Plus loin l'antenne .. bref un ''Not in my back yard '' classique.

Écrit par : Paulo | 26/03/2006

Pas vraiment Paulo, moi mon problème a été réglé il y a plus d'un an, ma cour est nickel, mais ayant constaté à cette occasion a quel point le risque lié a la compatibilité electromagnétique est passé sous silence alors que tous les electroniciens le connaissent, j'essai seulement de rétablir la vérité scientifique qui est bafouées par L'afsset et d'autres organismes officiels.

Je n'habite pas paris j'y suis juste né dans le 14°, donc je pourrais me laver les mains de cette charte, mais les contrevérités assenés par beaucoup me gavent, les citoyens meritent d'etre informés de tous les risques démontrables scientifiquement et prévus par des lois.

Écrit par : Pluloin Lanten | 29/03/2006

on peut lire sur le site de la ville de Paris:
«D’autre part, la Ville a demandé au Conseil Scientifique du Maire de réaliser une synthèse des études et rapports scientifiques existants sur les relations entre téléphonie mobile et santé publique.» Ils feraient bien de lire les textes sur la compatibilité électromagnétique qui relèvent de la loi.

Encore des experts qui ne savent ni lire ni compter jusqu’à 3V/m car il ne trouvent rien a redire aux méthodes de camouflage utilisées par la charte et n'on pas encore compris que 6V/m est supérieur a 3V/m.

il va leur falloir 20 ans pour trouver que 6 est supérieur a 3?
les membres du conseil scientifique devraient retourner au college pour apprendre les inégalités.

Écrit par : pluloin lanten | 01/04/2006

les experts officiels et la charte de Paris ridiculisés par Renault .

du nouveau au sujet de la compatibilité électromagnétique.

http://www.renault.com/renault_com/fr/images/11379%2011379_CP_CEM_FR_tcm1119-359599.pdf

La pollution électromagnétique un risque réel pour la sécurité des systèmes électroniques pouvant tuer.

Les experts des organismes officiels prétendent ridiculement, en violation des règles applicables qu'il est normal et sans risque d'appliquer les niveaux de 41V/m a 61V/m a des habitations ou sont utilisés des appareils électroniques a usage médical dont l'immunité est de 3V/m en violation de la réglementation pour prévenir le risque de dysfonctionnement.

Hors, Renault va appliquer des règles beaucoup plus sévéres pour garantir le sécurité des voitures.

Quelle honte pour nos super experts en évaluation des risques d'être démentis par la pratique d'un industriel qui va aller beaucoup plus loin que les règles en vigueur dans ce domaine alors que ceux ci ne sont même pas capables de lire celles applicables.

Écrit par : Pluloin Lanten | 19/04/2006